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Voyage Turquie Istanbul Bosphore Corne d'or
Par Jean-Marc Labouré

Voyage Turquie Istanbul Bosphore Corne d'orIstanbul : Bosphore et Corne d'Or.

En cette fin d'après midi le ciel est clair et, la lumière abondante donne un relief particulier à la ville, des points de vue aux couleurs étonnantes, comme sorties d'une toile de maître...

La suite de notre excursion est extraordinaire ! Il est presque midi et dans quelques minutes nous allons changer de continent. Adieu l’Europe et bienvenue en Asie !
Il faut savoir qu’Istanbul a cette singularité unique au monde : elle est à cheval sur les 2 continents. Et c’est ici, sur cet immense pont qui enjambe le Bosphore que le changement s’opère. A midi moins 5 en Europe et à midi en Asie, c’est génial ! Ce n’est pas le choc culturel du siècle, les gens et les bâtiments sont identiques, pas de décalage horaire ni de changement de saison mais quand même, le plaisir est certain !


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En Asie notre chauffeur nous dépose à Uskudar sur la rive orientale du Bosphore. Dans ce quartier résidentiel, la vie semble tournée vers son port à la fois départ de nombreuses liaisons maritimes et port de pêche. Les étals des pêcheurs sont d’ailleurs ici de toute beauté, les branchies des poissons sont savamment retournées pour mettre en valeur la fraîcheur de la pêche.

De retour en Europe, il nous faut assister « au clou de la visite » : un défilé de mode dans un des innombrables magasins de cuir. En clair, une opération commerciale ! Mais c’est de bonne guerre l’excursion était offerte...
Le défilé est assez drôle, un mélange de kitsch et de modernité. Sous un déluge de décibels, 3 femmes bien charpentées et un homme nous présentent la collection. Et ce ne seront pas les démonstrations du vendeur, pour nous expliquer que son cuir est le plus beau du monde, qui y changeront quelque chose : nous n’achèterons rien !

La Corne d'Or
C’en est fini de la visite en groupe et nous nous laissons alors déambuler au gré de nos envies dans les rues et ruelles de la Corne d’Or. Le long de ce bras du Bosphore, l’activité est frénétique. Les embarcations et ferrys font un va-et-vient incessant et sur les quais, d’innombrables vendeurs exposent à même le sol, des objets du quotidien : vêtements, produits d’hygiène, cigarettes de contrebande… Le long de l’eau, des bateaux transformés en immenses barbecues font griller du poisson qu’ils servent en sandwich aux passants : c’est pas cher et plutôt bon, reste à espérer qu’il ne vienne pas du Bosphore passablement pollué !
Plus loin, dans les ruelles de la vieille ville, nous nous perdrons en essayant de rejoindre la mosquée Suleyman, la plus grande mosquée d’Istanbul, l’occasion de voir des quartiers complètement délabrés ou de nombreuses bâtisses en ruine ont été abandonnées. Quelques gamins jouent sur les terrains vagues, improvisant ici ou là, un terrain de foot, une aire de jeu.Après quelques détours, la mosquée Suleyman est à portée de vue. Elle est sur le haut de la colline surplombant le pont Galata.
En longeant les murs d’enceinte, quelques ouvertures nous permettent des points de vue originaux. L’édifice est splendide et remarquablement bien entretenu.

La Mosquée Suleyman
A l’intérieur, il règne la même quiétude qu’à la Mosquée Bleue où l’épais tapis et les centaines de loupiottes sont comme une invitation à la méditation…
En cette fin d’après midi, le ciel est clair et, la lumière abondante donne un relief particulier à la ville, des points de vue aux couleurs étonnantes comme sorties d’une toile de maître. Tout en bas, sur le pont Galata, les pêcheurs sont encore là. Par centaines, ils pêchent du haut du pont. Les poissons ne sont pas énormes mais les prises sont régulières, probablement une façon pour certains Istanboulotes de gagner leur repas du jour. Le soir nous sommes allés manger au Cennet, un charmant restaurant de la vieille ville.


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